Billets d’humeur

LE LINGE SALE

Les Présidents des deux Corées, , KIM JONG-UN et MOON JAE-IN ont décidé de régler leur contentieux à DOMICILE sans intermédiaire. Ils ont parlé dans leur LANGUE. Une rencontre vue d’un très mauvais oeil par les MERDIAS, puisque la Communauté DITE Internationale n’ a pas été conviée.

Chez les NEGRES, tous les problèmes se règlent sur les réseaux sociaux. Chaque SECONDE, il y a un NEGRE qui fait du direct sur facebook pour exposer un autre. Une RACE qui concourt à sa propre EXTINCTION (mes sincères condoléances).

L’AUTRE VISAGE DE WINNIE

Je l’ai lu et vu (sur l’esplanade des Droits de l’Homme) à une époque où le bout du tunnel de la lutte anti-apartheid était presque visible. En 1987 (31 ans déjà !), le footballeur hollandais RUUD GULLIT venait d’être gratifié du BALLON D’OR qu’il a dédié à NELSON MANDELA, la même année où le célèbre prisonnier politique était transféré à la prison de haute sécurité de POLLSMOOR (qui est loin d’être un village de Club Med). Il venait de passer 24 ans dans un CAMP DE CONCENTRATION (Robben island) avec ses co-détenus à casser des pierres.

Le football n’a jamais été ma tasse de thé, mais pour rien au monde, je n’aurais raté la transmission de la cérémonie de remise du prestigieux trophée. C’est le geste très touchant de RUUD GULLIT qui a suscité ma vocation de conférencier. La même année, mes condisciples et moi avions monté une exposition consacrée à l’APARTHEID, système politique calqué par les AFRIKANERS sur le modèle américain (lois Jim Crow).

Sur la photo (ci-contre), on voit WINNIE MANDELA faisant chaleureusement la BISE au Révérend BAYERS NAUDE, dont l’histoire et le parcours sont méconnus par les BUZZEURS, champions du monde de l’extrapolation et de fake news.

Qui est le Révérend BAYERS NAUDE ?

Un ancien pasteur et théologien de la D.R.C (Dutch Reformed Church) ou Eglise Réformée Hollandaise, dont le clergé s’est toujours appuyé sur des versets BIBLIQUES (controversés) pour justifier “l’infériorité des Nègres” et l’apartheid. Cette église existe toujours en A.F.S, ses adeptes sont pour la plupart, des RACISTES reconnaissables à leur brassard quasi identique à celui des NAZIS. Ce sont les enfants bâtards d’ADOLF HITLER.

Au fond de tout être humain, même le plus odieux, réside une étincelle de raison, le Révérend BAYERS NAUDE rendit visite à NELSON MANDELA et ses compagnons de lutte en prison sous leur invitation. La leçon d’humanité qu’il reçut fut à l’origine d’une révolution intérieure (le bouleversement de l’âme).

Devinez la suite ?

Le Révérend BAYERS NAUDE est devenu le plus grand ennemi BLANC de l’apartheid en Afrique du sud. Il a aussitôt rejoint le camp des “terroristes” et ironie de l’Histoire, a fait de la prison à son tour pour avoir commis l’impensable (chut !). Le premier gouvernement de l’A.N.C l’a élevé au rang de HEROS NATIONAL, au point d’être jugé fréquentable par WINNIE “la radicale”.

WINNIE a connu le bannissement, la prison, l’humiliation, pire encore, la violation de son intimité propagée dans les journaux pour briser le moral de son prisonnier de mari. Formée à la grande école, celle des coups tordus, elle a tenu bon. De sa lutte, elle a appris le PRAGMATISME qui se résume en une phrase : UN PAYS NE SE LIBERE PAS AVEC LA RHETORIQUE.

WINNIE, radicale ?

Certainement pas, l’AFRICAIN bien ancré dans l’UBUNTU, KIMUNTU, BOMOTO, en est incapable, à moins de changer son logiciel mental. Les RADICAUX ne font pas la BISE à leurs BOURREAUX (même reconvertis). Ils leur cassent la GUEULE, pourvu qu’ils soient dotés d’une réelle puissance.

Les FANTASMES sont une chose, la REALITE en est une autre. INGETA !

NGOMBULU YA SANGUI YA MINA BANTU LASCONY

 

LA RAISON DE L’ORAISON

In memoriam WINNIE MANDELA 1936-2018

Les hommages posthumes font des défunts des êtres parfaits bien que la perfection soit absente du monde des vivants. En période de deuil, les propos sont mesurés, un réquisitoire contre une dépouille relève de l’indécence en raison du silence.

Le parcours de WINNIE MANDELA force ADMIRATION et RESPECT. Je garde d’elle l’image d’un bloc de granite qu’aucun marteau n’a pu briser, malgré la violence des coups. La COMBATTANTE incarnait à mes yeux la femme IDEALE, celle capable de recourir à des moyens désespérés pour soustraire son peuple à la servitude. Elle a purgé les towships avec le SUPPLICE DU COLLIER, la juste récompense des renégats. Cette méthode lui a valu l’hostilité des rêveurs et l’estime des vigilants. L’horreur de l’oppresseur étant la fureur de l’opprimé.

Deux références livresques résument le parcours de l’héroïne :

“UNE PART DE MON AME”, ouvrage publié pendant la période la plus sombre de l’apartheid, est le reflet d’une épouse, d’une mère affectée, harcelée, éloignée, mais déterminée à en découdre avec la tyrannie de l’occupant.

“MA PART DE VERITE”, ouvrage à charge (entretien), une lessive mal dosée qui n’a pu ôter du linge familial des taches flagrantes.

La leçon de dignité a eu lieu lors des obsèques de MADIBA, WINNIE apposant un tendre baiser affectueux sur la bouche de GRACA MACHEL-MANDELA, veuve officielle de son ex époux. Un geste qui l’absout du crime de lèse-majesté.

Elle a hypothéqué sa jeunesse en épousant un vrai HOMME et son COMBAT. Elle a divorcé de lui en gardant son patronyme, une marque de reconnaissance envers son mentor ( c’est NELSON MANDELA qui a formé WINNIE, jeune infirmière des townships, et non l’inverse).

Le portrait de WINNIE est indécrochable de la galerie de mon COEUR, mon pouls bat au rythme du métronome. Les CHOEURS chagrinés entonnent l’ORAISON.

Adieu MAMA !

NGOMBULU YA SANGUI YA MINA BANTU LASCONY

LIBERATION DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES EN REPUBLIQUE DU CONGO.

Etre journaliste ou opposant politique n’est pas un crime, mais un droit constitutionnel.

DRAPEAUX EN BERNE POUR L’ETALON (1954 – 2018)

L’ETALON (Ouédraogo), IDRISSA, son prénom, a tiré sa révérence en catimini. Une chute de BAOBAB sans jacquerie, le cinéaste burkinabè aux multiples récompenses s’est contenté de rester derrière la caméra, rarement devant. Il s’est volontairement mis à l’ombre pour mieux servir.

L’EAU DU BAIN ET LE BEBE

Les CRIS D’ORFRAIE étaient prévisibles.

“Le cri de détresse d’un seul gouverné ne vient pas à bout du tambour” dit un proverbe africain.

Il y a 30 ans, feu AGGREY KLAASTE, rédacteur en chef du “SOWETAN”, quotidien le plus populaire d’A.F.S, prevenait ses compatriotes des townships : “Les gens attendent tellement de l’A.N.C, je crains qu’une fois au pouvoir, ses dirigeants ne puissent pas immédiatement répondre à leurs attentes, à cause de l’immensité de la tâche”.

Personne n’a vu le temps passé, mais les archives sont toujours disponibles. Ceux qui ont plébiscité le Président JACOB ZUMA sont les mêmes a avoir réclamé sa démission. Normal, ce dernier n’a pas rempli son contrat. Obtu, il a fini par rendre son écharpe. ZUMA s’en va comme il est arrivé au pouvoir. Les règles ont été respectées, ailleurs, le ballet des chars auraient déjà été observé sur les grandes artères. Le respect des institutions est préférable aux bruits des bottes. INGETA !

JACOB ZUMA a incontestablement échoué en tant que Président. Mais son choix en tant que candidat de l’A.N.C à la magistrature suprême s’imposait. Pourquoi ?

ZUMA a passé 10 ans de prison à Robben island et 10 de prison à ciel ouvert (exil) au Mozambique. Il a été l’un des membres les plus actifs de l’A.N.C pendant les 60 dernières années. Dans une AFRIQUE politiquement tribalisée à outrance, il a opté pour la solution GLOBALE en adhérant à l’A.N.C (réputé xhosa) au détriment de l’I.F.P (Inkatha Freedom Parti), du Dr MANGOSUTHU “GATSA” BUTHELESI, son parent. Ce détail mérite d’être souligné.

Grand RESISTANT n’est pas synonyme de bon GESTIONNAIRE. On peut loyalement servir sa MATRIE sans occuper de poste clef. La notion de RATTRAPAGE étant ancrée dans la mentalité de l’opprimé, l’équation paraît insoluble.

Bon vent à CYRIL RAMAPHOSA !

“Le cri de détresse d’un seul gouverné ne vient pas à bout du tambour” dit un proverbe africain.

Il y a 30 ans, feu AGGREY KLAASTE, rédacteur en chef du “SOWETAN”, quotidien le plus populaire d’A.F.S, prevenait ses compatriotes des townships : “Les gens attendent tellement de l’A.N.C, je crains qu’une fois au pouvoir, ses dirigeants ne puissent pas immédiatement répondre à leurs attentes, à cause de l’immensité de la tâche”.

Personne n’a vu le temps passé, mais les archives sont toujours disponibles. Ceux qui ont plébiscité le Président JACOB ZUMA sont les mêmes a avoir réclamé sa démission. Normal, ce dernier n’a pas rempli son contrat. Obtu, il a fini par rendre son écharpe. ZUMA s’en va comme il est arrivé au pouvoir. Les règles ont été respectées, ailleurs, le ballet des chars auraient déjà été observé sur les grandes artères. Le respect des institutions est préférable aux bruits des bottes. INGETA !

JACOB ZUMA a incontestablement échoué en tant que Président. Mais son choix en tant que candidat de l’A.N.C à la magistrature suprême s’imposait. Pourquoi ?

ZUMA a passé 10 ans de prison à Robben island et 10 de prison à ciel ouvert (exil) au Mozambique. Il a été l’un des membres les plus actifs de l’A.N.C pendant les 60 dernières années. Dans une AFRIQUE politiquement tribalisée à outrance, il a opté pour la solution GLOBALE en adhérant à l’A.N.C (réputé xhosa) au détriment de l’I.F.P (Inkatha Freedom Parti), du Dr MANGOSUTHU “GATSA” BUTHELESI, son parent. Ce détail mérite d’être souligné.

Grand RESISTANT n’est pas synonyme de bon GESTIONNAIRE. On peut loyalement servir sa MATRIE sans occuper de poste clef. La notion de RATTRAPAGE étant ancrée dans la mentalité de l’opprimé, l’équation paraît insoluble.

Bon vent à CYRIL RAMAPHOSA !

Ce que nous devons savoir

Ce que nous devons savoir

NOYADE A VENISE SOUS LES RIRES

Où sont passés les nègres ?

Seul contre tous