FATOU EST DANS LA MERDE

Par la voix du conseiller à la sécurité nationale JOHN BOLTON, les Etats-Unis se sont livrés à une attaque virulente contre la Cour pénale internationale (CPI), lundi 10 septembre. Ils ont menacé ses jJUGES et PROCUREURS de sanctions en cas de mise en cause d’AMERICAINS, d’ISRAEL ou d’autres alliés de Washington (Source : R.F.I).

Et oui ! On peut s’en prendre aux FAIBLES, mais pas aux PUISSANTS, surtout pas aux ELUS de la MAISON BLANCHE.

L’idée d’une JUSTICE INTERNATIONALE n’était pas mauvaise. Bien au contraire, car il fallait bien une structure mondiale pour neutraliser toutes les CANAILLES de cette PLANETE.

34 des 54 pays AFRICAINS ont ratifié le STATUT de ROME pour la création de la C.P.I (Cour Pénale d’Injustice). Les ETATS-UNIS se sont abstenus, comme lors de la création de la SOCIETE DES NATIONS en 1919 que son Président WOODRAW WILSON avait pourtant initiée. Les U.S.A n’ont JAMAIS été membres de la S.D.N.

UHURU KENYATTA, Président du Kenya, à peine élu DEMOCRATIQUEMENT, s’est vu notifier un mandat d’arrêt international. UHURU ( qui signifie LIBERTE en kiswahili) a dû confier les rênes du pouvoir à son vice-Président WILLIAM ROUTO afin de se rendre à la HAYE. Surpris par cette démarche VOLONTARISTE du Président kényan, la MAFIA JUDICIAIRE l’a aussitôt NOIRCI, pardon BLANCHI.

La C.P.I est une FOUTAISE. Elle a failli à sa mission PRIMORDIALE et doit mettre la clef sous le paillasson. Ses bâtiments pourraient très bien servir à accueillir tous les réfugiés et apatrides errant dans toute la LEUCODERMIE.

“L’HOMME NE SE LAISSE PAS CONVAINCRE NI MEME EBRANLER PAR DES PRIERES OU DES PETITIONS ; MAIS DEVANT LE POUVOIR ET LA FORCE, N’IMPORTE QUEL INDIVIDU SE LAISSER PERSUADER, FUT-CE CONTRE SA VOLONTE”.

Honorable MARCUS MOSIAH GARVEY, béni soit son nom.