L’éducation est le moyen de transmission le plus efficace. Il n’y a pas de mauvais élèves, mais de mauvais pédagogues. Sans transmission, la connaissance perd toute sa valeur.
« Eduquer une femme c’est éduquer une nation. Eduquer un homme c’est éduquer un individu ». J’ai fait de cette maxime une prière. En compagnie des lycéennes. Abobo-baoulé (Côte-d’Ivoire).
« L’émergence est inenvisageable sans une vraie formation. La jeunesse est un atout majeur pour le continent ». En compagnie des lycéens à l’Independence square, Accra (Ghana). « Le plaisir de planter l’amour de la Terre-mère (motherland) dans le cœur des Afrodescendants ». ROSEAU (Dominique, Antilles britanniques), En compagnie des lycéens. BASSETERRE (St Kitts and Nevis, Antilles britanniques), « Ces écoliers mahorais ignoraient qu’ils étaient Africains. Ce n’est qu’après un long exposé sur l’Afrique qu’ils s’en sont aperçus. Sauvons nos enfants de l’aliénation culturelle ». Bibliothèque de Dzoumogne, Mayotte (Océan indien). « La protection de l’enfance est une obligation morale ».Devant l’Assemblée Nationale. Niamey (NIGER),.Invité par la délégation des ambassadeurs de l’Union Africaine à l’O.N.U pour retracer l’histoire du Panafricanisme. Octobre 2013.O.N.U. Octobre 2013.Avant mon intervention à l’O.N.U. Octobre 2013.Avec S.E MINELIK GETAHUN, ambassadeur de l’Ethiopie à l’O.N.U et chef de la délégation des ambassadeurs de l’Union Africaine. O.N.U, octobre 2013.Pendant mon intervention à l’O.N.U , coincé entre S.E MINELIK GETAHUN et Mme RAS WORK, Octobre 2013.Idem.J’avais demandé aux techniciens d’éteindre la lumière pour illustrer mon intervention sur l’écran. L’auditoire n’a pas boudé le plaisir d’écouter une suite de proverbes africains.Avec les membres de la délégation éthiopienne venus me féliciter après mon intervention sur l’histoire du Panafricanisme, à l’O.N.U. Octobre 2013.Jamais sans ma caméra. Devant le Capitole,Washington D.C (U.S.A), Un déplacement à Washington pour visiter l’exposition « BLACK IN GOVERNEMENT » à la LIBRARY OF CONGRESS. Washington D.C. (U.S.A), Trimbaler des appareils est un réflexe professionnel. A l’intérieur du LIBRARY OF CONGRESS (Bibliothèque du Sénat américain). Washington D.C. (U.S.A), Au SCHOMBURG CENTER, premier centre de recherches sur l’histoire et la culture afro-américaine. New-York (U.S.A), « L’élévation intellectuelle passe par la documentation ». Au Schomburg Center. New-York (U.S.A), Avec un agent du Schomburg Center. New-York (U.S.A), Un exposé dédié au capitaine THOMAS SANKARA à l’Université JOSEPH KI-ZERBO. Ouagadougou (Burkina Faso)« Il est merveilleux de s’adresser à une jeunesse en or. Elle est studieuse et déterminée à relever les défis du futur. Pendant mon exposé dédié au Capitaine THOMAS SANKARA à l’université Joseph Ki-Zerbo.Ouagadougou (Burkina Faso),Ma relation avec les étudiants burkinabè dépasse le cadre scolaire. Certains me considèrent comme un père. Il existe une véritable filiation spirituelle, un amour réciproque. Université Joseph Ki-Zerbo, Ouagadougou (Burkina Faso), Invité à l’Université de Montréal pour donner une conférence sur LA PLACE DE LA FEMME DANS L’AFRIQUE AUTHENTIQUE. Montréal (Canada),Etre toujours le premier dans l’amphithéâtre. UNIVERSITE DE MONTREAL (Canada), Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, merci pour votre présence. L’intitulé de mon intervention est « LE ROLE DE LA FEMME DANS L’AFRIQUE AUTHENTIQUE ».Puis on entre dans le vif du sujet.Pour conclure la conférence élégamment, une ode a été offerte aux charmantes dames et demoiselles présentes. « FLEURETTE AFRICAINE » inspirée par une balade de DUKE ELLINGTON tirée de mon recueil « LA BLESSURE DE L’AME ».Photo de famille d’après-conférence. UNIVERSITE DE MONTREAL (Canada)Merci Montréal pour cet accueil plus que chaleureux.La séance des dédicaces.J’ai été honoré de voir des familles dans l’auditoire à l’ Université de Montréal (Canada)En reportage à l’APOLLO THEATRE pendant la campagne de BERNIE SANDERS, candidat à l’investiture du Parti démocrate. HARLEM (U.S.A), A l’APOLLO THEATRE, campagne de BERNIE SANDERS, le débat a été animé par HARRY BELAFONTE. New-York (U.S.A), Ma conférence sur les RAZZIAS NEGRIERES (Mafaa) à la médiathèque PAUL MADO. Baie-Mahault (Guadeloupe), Idem.Devant le MEMORIAL ACTE pour démonter la propagande. Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Au dessus du MEMORIAL ACTE idem). Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Monument à la gloire des martyrs guadeloupéens. LE MOULE (Guadeloupe), Retour au BRITISH MUSEUM. LONDRES (Angleterre), BRITISH MUSEUM (Egypt room). LONDRES (Angleterre), Au BROOKLYN MUSEUM OF ART, New-York City (U.S.A), IdemSur la PLACE DES ARTS, lors du FESTIVAL INTERNATIONAL DE JAZZ DE MONTREAL, Québec (Canada),Avec STANLEY PEAN, animateur au Festival international de jazz et à Radio Canada, Montréal, Québec (CANADA),Avec l’une des mes mères adoptives, feu Mme JACQUELINE KI-ZERBO. C’est elle qui m’a ouvert les portes de l’université de Ouagadougou rebaptisée en l’honneur de son époux, Pr JOSEPH KI-ZERBO. Je n’ai jamais manqué de lui rendre visite à domicile. Ouagadougou (Burkina Faso), Feu Mme JACQUELINE KI-ZERBO décorée par l’Etat burkinabè pour son engagement en faveur de l’Education. Une très grande panafricaniste qui nous a malheureusement quittés en 2015.
Avec une autre de mes nombreuses mères adoptives. Nana M. HAIDARA. C’est elle qui m’a hébergé gratuitement pendant toute ma période d’études à Tombouctou. « Dans la ville aux 333 Saints, l’étranger est or ». dit-on !
Pendant ma période d’études à TOMBOUCTOU (Mali).Un de mes maîtres, le Pr KONOMBA TRAORE, un savant authentique (enseignant, luthier, polyinstrumentiste, peintre, tradipraticien, historien, gardien de la tradition, conteur, etc) . Il a été maire de Ouagadougou et préfet sous le régime du Capitaine THOMAS SANKARA. Il a été reconnu officiellement TRESOR HUMAIN DU FASO.Avec l’un de mes maîtres, le Pr KONOMBA TRAORE. Ouagadougou (Burkina Faso), Le Pr DJIBRIL DOUCOURE, grand érudit, homme-livre, conservateur des manuscrits pré-islamiques à la Bibliothèque de l’Institut des Hautes Etudes Islamiques de Tombouctou (Mali).Avec l’un de mes maîtres, le Pr DJIBRIL DOUCOURE, il m’a permis de faire le lien entre l’Espagne musulmane (Califat de Cordoue) et Tombouctou. Des références livresques à ne plus finir.Pendant mes études avec les NOTABLES de Mopti (Mali).Qu’ai-je étudié dans le CERCLE-DE MOPTI (Mali) ? La réponse se trouve derrière moi ( LES JOYAUX ARCHITECTURAUX AUTHENTIQUES DE L’AFRIQUE).Traversée du BANI (bras du fleuve Niger). Pendant ma période d’études à MOPTI (Mali).Au début de ma période d’études. Devant la GRANDE MOSQUEE de Djenné la Sainte (Mali).La GRANDE MOSQUEE de Djenné, ancien Palais de KOI KOMBORO, un joyau architectural (Mali).Depuis que j’ai découvert la MAGIE DU BANCO, je m’y suis accroché. Son odeur m’attire. Djenné la Sainte (Mali) pendant ma période d’études.Mais c’est au PALAIS ROYAL D’ABOMEY (Bénin) que j’y ai pris goût. La terre rouge sent bon.Au TEMPLE DES PYTHONS. Ouidah (Bénin).Pr KAYE TINTAMA, savante authentique (architecte, maçonne, décoratrice, calligraphe, gardienne de la tradition kassena, enseignante). Une autre de mes mères adoptives, ne le dites à personne, car elle est très sollicitée, jusqu’en Chine.J’ai eu le privilège d’avoir étudié auprès de cette grande dame, Pr KAYE TINTAMA, savante authentique et TRESOR HUMAIN du Faso.Pendant ma période d’études à Tiébélé, dans le Nahouri.L’odeur du banco est encore plus agréable que celle des bananes plantains.Avec mon jeune frère ABDOU qui m’a introduit à la cour royale de Tiébélé. Il m’a donné mes premières leçons de Kassim. Grand merci !Le devoir de reconnaissance envers celle qui a formé un nombre incalculable d’étudiants (aussi bien des Africains que des étrangers). Ils font tous la queue ici. Merci maman !La reconnaissance officielle est enfin tombée : TRESOR HUMAIN DU FASO. Honneur et respect à l’un des plus brillants cerveaux africains.En période d’études aux TOMBEAUX DES ASKIA. GAO (Mali),En période d’études dans les monastères du Lac Tana avec mes maîtres (moines). BAHIR DAR (Ethiopie).La RIGUEUR MONASTIQUE avec mon maître (silence), l’un des meilleurs spécialistes du guez, langue liturgique de l’Orthodoxie éthiopienne.MINELIK II SQUARE. Addis-Abeba (Ethiopie).Invité par l’Agence de communication « SEL ET POIVRE » pour monter et animer une grande exposition photos « REINES D’AFRIQUE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI ». Kinshasa (R.D.C), Lors du vernissage de mon exposition photos « REINES D’AFRIQUE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI ». Kinshasa (R.D.C), Mon exposition « REINES D’AFRIQUE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI ». 98 % des photos proviennent de ma Banque d’images « CIMAROONS LTD ». Kinshasa (R.D.C), Idem.Idem.« Toute femme mérite d’être couronnée reine, car la vie n’est possible qu’à travers le canal féminin ». Exposition photos « REINES D’AFRIQUE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI ». Kinshasa (R.D.C),A Mbanza-ngungu (R.D.C), devant le portrait de Mfumu SIMON KIMBANGU KOLO LIPUTA. Epuisé par le voyage. Enfin un départ pour Nkamba. MBANZA-NGUNGU. R.D.C, Effectuer 75 km en 7 heures dans une vieille carcasse, un voyage inconfortable. Heureusement que l’ambiance était conviviale. Mbanza-ngungu (.R.D.C).Une panne de pneus en pleine nuit à KIEMBA, petite localité sur la route de Nkamba (R.D.C). Pendant la première panne à Kiemba (R.D.C) en compagnie des FLUKI (Flûtistes Kimbanguistes). J’en ai profité pour faire un petit reportage. Merci aux jeunes pour les rythmes et les mélodies en mon honneur. Premier séjour à la Sainte cité de Nkamba , lieu de naissance de Mfumu SIMON KIMBANGU KOLO LIPUTA. (R.D.C), En compagnie de la FAKI (Fanfare kimbanguiste) à Nkamba (R.D.C), De cette visite est né un film documentaire « SUR LES TRACES DE MFUMU KIMBANGU » (voir dans mes oeuvres).Interwiew à la Radio Télévision Kimbanguiste (R.A.TE.KI). Nkamba (R.D.C) BA MAMA YA NKAMBA (les mamans de Nkamba).« J’adore la compagnie des femmes, peu importe leur âge ». En tournage pour promouvoir le travail des tisserandes. Waraniene (Côte-d »Ivoire),L’idée que je me suis toujours fait de la femme IDEALE, celle capable de prendre les armes pour défendre le continent. Zorgo, GuazourgouQuand on n’a pas le choix, on emprunte les TETANOS CARS. Impossible de connaître l’heure d’arrivée.GANVIER (Bénin), Un voyage vers l’inconnu, mais la découverte fut énorme en pays Nzima. GHANA, FORT AMSTERDAM. Abandze (Ghana),La « Porte de non retour », FORT AMSTERDAM. Abandze (Ghana), Pendant mon tournage au FORT AMSTERDAM ( maison hantée), j’ai failli perdre l’usage de ma jambe droite. Les tradipraticiens étaient à l’oeuvre pour me remettre sur pied. ADA (Ghana).Les premiers soins. ADA(Ghana), Bilan : RUPTURE DU TENDON D’ACHILLE. Si j’étais resté auprès des tradipraticiens, j’aurais évité une opération chirurgicale. Leçon : je ferai plus attention. ADA (Ghana), LES RISQUES DU METIER : opération du tendon, 8 mois d’arrêt de travail, malgré tout, j’ai continué à voyager en fauteuil roulant pour donner des conférences.Lors d’un de mes innombrables séjours d’études en Ethiopie. Sur la route en direction de la Sainte cité de Lalibela. J’ai effectué à peu près 800 km en trois jours en car à cause des montagnes. Dans les labyrinthes de la Sainte cité de Lalibela (Ethiopie). Il faut emprunter de longs tunnels pour accéder aux 11 églises classées au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’U.N.E.S.CO.« Après l’effort, le réconfort ». L’un des plus grands moments de ma vie. 3 jours de montagnes et de routes dangereuses pour atteindre la Sainte cité de Lalibela (Ethiopie). Devant la Beta Giorghis (Eglise Saint-Georges) classée 8e merveille du monde par l’U.N.E.S.CO.Si vous êtes claustrophobe, évitez de faire un tour à Lalibela. Les édifices religieux sont tous reliés par des tunnels.A ‘Axum, berceau de l’Empire abyssin (actuelle Ethiopie).Devant la tombe d’un puissant monarque axumite , le roi KALHEB. Axum (Ethiopie), Recueillement à l’intérieur de la tombe du Roi DEGRE MASQAL avant de commencer le travail (je suis animiste, ce rituel s’impose).Mon travail consiste aussi à me rendre à l’intérieur des tombes pour y découvrir l’histoire cachée de l’Afrique. Toujours à Axum (Ethiopie).FORT SHIRLEY. PRINCE RUPERT’S BAY (Dominique, Antilles britanniques), Idem FORT JAMES. Antigua and Barbuda (Antilles britanniques), FORT BARKLEY, Antigua and Barbuda (Antilles britanniques), PORTE D’ENFER. Guadeloupe, FORT FLEUR D’EPEE. Gosier (Guadeloupe), FORT RODNEY. Pigeon’s island (Sainte-Lucie, Antilles britanniques), FORT RODNEY. Pigeon’s island (Sainte-Lucie, Antilles britanniques), août 2015.BAIE DES SAINTES, considérée comme la seconde plus belle baie du monde (Archipel de la Guadeloupe). Février 2016.Idem.FORT NAPOLEON, j’y suis allé pour récolter quelques détails indispensables sur la BATAILLE DES SAINTES. Les Saintes (Archipel de la Guadeloupe). JENNINGS VILLAGE (Antigua and Barbuda), .ENGLISH HARBOUR. (Antigua and Barbuda), DETROIT DE LA HAVANE (Cuba), Idem.CASTILLO DEL MORRO. Havane (Cuba), MilotEn tournage sur les hauteurs de Milot (Haïti), MilotIdemIdemIdemIdemJ’ai commencé à sillonner le Globe très jeune. Les premiers sponsors de mes pérégrinations culturelles s’appelaient Mr et Mme mes PARENTS. Leur investissement et sacrifice a généré un gros bénéfice dans mon cerveau. Depuis, j’ai appris à voler de mes propres ailes. Tant que j’aurais la santé, je poursuivrais ce long voyage initié par mon père quand j’avais 7 ans.Avec mes condisciples SAID et BOUKALFA sur le monument dédié à la lutte anti-apartheid à EDINBURGH (Ecosse).A peine adulte, pendant mon séjour d’études à STIRLING (Ecosse).Devant le WESTMINSTER (parlement britannique). Londres (Angleterre),TRAFALGAR SQUARE. Londres (Angleterre),VENISE (Italie), PIAZZA SAN MARCO, Venise (Italie), Devant la MOSQUEE BLEUE. Istanbul (Turquie), Sur les bords du BOSPHORE. Istanbul (Turquie), Devant le PALAIS TOPKAPI . Istanbul (Turquie), Devant la MOSQUEE HASSAN II. Casablanca (Maroc),PLACE MOHAMED V. Casablanca (Maroc), juillet 2013.Devant l’ARBRE DU TENERE au MUSEE BOUBOU HAMA. Niamey (Niger), A la fin d’un cycle d’études dans le Mandé devant le lieu d’adoption de la CHARTE DU KOUROUKANFOUGA. Kangaba (Mali),ELLEMBE, en pays Nzima (Ghana), GAOUA (Burkina Faso), Juste après la CRISE IVOIRIENNE (triste épisode). Abidjan (Côte-d’Ivoire), En tournage sur le site historique de BIMBIA (Cameroun), Sur le site historique de BIMBIA (Cameroun),CAP-COAST CASTEL (Ghana), CAP-COAST CASTEL (Ghana), « PORTE DE NON RETOUR ». OUIDAH (Bénin), sur le MONT KHOROGO (Côte-d’Ivoire), Idem.« PACTE DE FRATERNITE » avec mon protecteur ALAMA. Khorogo (Côte-d’Ivoire),MONT BANKOLO. Yaoundé (Cameroun), Idem.Pendant ma période d’études en PAYS DOGON. Village de Fambori (Mali).Idem.Je fais de mon mieux pour liquider mon ignorance.Tête d’Olmèque en Ethiopie. Pourquoi ? Ce que l’ECOLE classique n’a jamais enseigné.Pendant ma formation sur l’ART ASHANTI au CULTURAL CENTER. Kumasi (Ghana).Pendant ma période d’études à KUMASI (Ghana).Au TATA DE SIKASSO (Mali).Idem.Le GOUT DE L’AVENTURE. Avec « Petit Manoko », le meilleur taxi-moto de ZEGOUA (Mali). Mais ici, nous sommes à POGO (frontière ivoiro-malienne).Sur un BENSKIN (taxi-moto) à Douala (Cameroun), Dans le désert en allant à KORO en PAYS DOGON.LALERABA (frontière ivoiro-Burkinibè), En reportage dans un village déserté pendant la GUERRE AU MALIDans le DJOLIBA (fleuve niger) en me rendant à TOMBOUCTOU, la ville aux 333 Saints. (Mali).La traversée du DJOLIBA avec les habitants du Désert. La nuit il fait très froid et le jour très chaud.TEREZIN (République tchèque), « Etudier toutes les tragédies pour saisir les mécanismes de la FOLIE HUMAINE« . Devant le camp de concentration de TEREZIN (République tchèque) A l’intérieur du camp de concentration de TEREZIN (République tchèque) .Les cellules du camp de concentration, un endroit lugubre. TEREZIN (République tchèque)A la gare de NUREMBERG (Allemagne), Devant la vieille cité de Nuremberg (Allemagne), Après avoir visité, filmé, photographié autant de camps de concentration, je me suis rendu à Nuremberg (Allemagne) pour me documenter Devant le TRIBUNAL DE NUREMBERG (Allemagne), première juridiction internationale. A l’intérieur du centre de documentation du Tribunal de Nuremberg (Allemagne) pour consulter les archives. PLACES DES DROITS DE L’HOMME (foutaises !). Genève (Suisse), Au PORT DE KARSIYAKA. Izmir (Turquie),
CENTRAL PARK. New-York (U.S.A),
Pendant mes recherches à la CITE MEDIEVALE. Je m’intéresse à toute l’Histoire. Carcassonne (France), Sur l’île de CAPRI (Italie),Au MONASTERE STRAHOVSKEHO. Prague (République tchèque), A la Bibliothèque du MONASTERE STRAHOVSKEHO. Prague (République tchèque), NEOMA BUSINESS SCHOOL avant ma conférence. Mont-Saint-Agnan (France) Prêt pour la livraison.Pendant la conférence à la NEOMA BUSINESS SCHOOL. Mont-Saint-Agnan (France)EXPLICATION SUR L’ENJEU DU GOLDEN STOOL.Réconcilier la FUTURE ELITE AFRICAINE avec son passé glorieux pour gagner en confiance.Photo de famille d’après-conférence. NEOMA BUSINESS SCHOOL. Mont-Saint-Agnan (France) Invité à Metz par la Fédération des Etudiants Congolais de France pour une conférence-débat sur la R.D.C. Metz ,Idem.Idem.L’auditoireAprès la conférence. Lorsqu’on évoque la R.D.C, les débats sont élastiques.La compagnie féminine, quoi de plus agréable ?Avec les membres du bureau de la Fédération des Etudiants Congolais. Metz (France), Avant mon exposé sur l’AFRIQUE MILLENAIRE à la Bibliothèque Interculturelle de Côte-des-neiges. Montréal (Canada), Après mon exposé sur l’AFRIQUE MILLENAIRE à la Bibliothèque Interculturelle de Côte-des-neiges. Montréal (Canada), Devant la BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE NEW-YORK (U.S.A), A la BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE NEW-YORK (U.S.A),UNIVERSITA DI TORINOIdemIdemIdemIdemDans le hallTorinoROSEAU (Dominique, Antilles britanniques), .Sur le MALECON. Havane (Cuba), FORT JAMES. ANTIGUA AND BARBUDA (Antilles britanniques), Idem.Mes modèles. Ils ont tout sacrifié pour leur peuple.Mon père spirituel, l’honorable MARCUS MOSIAH GARVEY (1887-1940). Que la lumière de MFUMU NZAMBI YA MPUNGU TULENDO, le Dieu de mes Ancêtres, brille éternellement sur lui. Il m’a guéri de la cécité intellectuelle et m’a fourni les armes de survie.TALFGARTH ROAD. C’est ici que s’est éteint mon père spirituel l’honorable MARCUS MOSIAH GARVEY,
En pèlerinage devant l’entrée de la maison de l’honorable MARCUS MOSIAH GARVEY, béni soit son nom pour l’éternité. Après DIEU, c’est lui.
MARCUS GARVEY PARK. Harlem, New-York (U.S.A), Devant la tombe du très regretté capitaine THOMAS SANKARA. Que la lumière de WENDE brille éternellement sur lui.Avec le Colonel BOUKARY KABORE dit LE LION, ex bras droit du Capitaine THOMAS SANKARA. Makognindougou (Burkina Faso), Comité d’accueil de la veuve MARIAM SANKARA de retour d’un long exil à l’aéroport de OUAGADOUGOU (Burkina Faso),SYMPOSIUM THOMAS SANKARA. Ouagadougou (Burkina Faso), le 2 octobre 2016.Dr ABDOULSALAM KABORE, ex bras droit du capitaine THOMAS SANKARA et Président du Comité d’organisation du symposium pour le lancement de la construction du Mémorial.Président JOHN JERRY RAWLINGS, lors du SYMPOSIUM THOMAS SANKARA. Ouagadougou (Burkina Faso),Mon intervention au SYMPOSIUM THOMAS SANKARA. Ouagadougou (Burkina Faso), Après mon intervention avec les étudiants au SYMPOSIUM THOMAS SANKARA. Ouagadougou (Burkina Faso), SYMPOSIUM THOMAS SANKARA. Ouagadougou (Burkina Faso),En compagnie des « MOORISH » à Harlem. New-York (U.S.A). .The « MOORISH » à Harlem. New-York (U.S.A), JOHN WILLIAM COLTRANE (1926 -1967), mon père musical et ma plus grande influence jazz. Il m’a inspiré l’étude du saxophone.Une pépite sur JOHN COLTRANE trouvée à GREENWICH VILLAGE pour si peu. Londres (Angleterre), Il a fait du saxophone un chapelet de prière musicale. Avec le légendaire ELVIN JONES (U.S.A), batteur de JOHN COLTRANE.Au VILLAGE VANGARD, mythique club de jazz. New-York (U.S.A).Avec le légendaire pianiste HAROLD MABERN au VILLAGE VANGARD, mythique club de jazz. New-York (U.S.A).Le BIRDLAND, mythique club de jazz new-yorkais en hommage à CHARLE PARKER.Avec WYNTON MARSALIS, trompettiste, chef d’orchestre,compositeur, arrangeur, légende vivante et HERLIN RILEY, excellent batteur.Avec le légendaire trompettiste, compositeur HUGH MASEKELA (Afrique du sud).Avec le très swinguant pianiste MONTY ALEXANDER (Jamaïque).Avec le Dr LONNIE SMITH (U.S.A), légendaire organistede jazz et mentor de GEORGE BENSON .Avec la grande diva du jazz DIANE SCHUUR (U.S.A), grammy award winner.Honoré d’avoir été invité sur scène par DIANE SCHUUR, l’une des plus belles voix du jazz. Ecoutez sa version de « TRAVELLING LIGHT ».Avec le légendaire contrebassiste, RON CARTER (U.S.A).En compagnie d’un batteur hors-pair, j’ai nommé BRIAN BLADE (U.S.A).Avec la grande cantatrice BARBARA HENDRIX (U.S.A).Avec l’alto saxophoniste WESSEL ANDERSON (U.S.A).Avec le vétéran pianiste de jazz afro-américain, KIRK LIGHTSEY.Avec le chanteur YURI BUENAVENTURA (Colombie).Avec le saxophoniste afro-cubain, RICARDO IZQUIERDORICARO IZQUIERDO, saxophonisteAvec le Dr OLIVER JONES, grand pianiste et compositeur de jazz, alter ego d’OSCAR PETERSON lors du 112e anniversaire de l’UNION UNITED CHURCH, Montréal, Québec (CANADA), « Les chiens ne font pas les chats ».Devant le SMOKE JAZZ CLUB, New-York City (U.S.A),Devant le SMOKE JAZZ CLUB en compagnie de JAMES CARTER « L’OURAGAN DE DETROIT (saxophoniste), New-York City (U.S.A), Avec le majestueux STEVE TURRE (tromboniste) au SMOKE JAZZ CLUB, New-York City (U.S.A),« Tu sèmes, tu arroses, puis tu récoltes ». Mon fils ZEPHANIA NGOMBULU YA NTETE YA NUANA ZINGU LASCONY (12 ans) prenant son solo lors d’un concert, au THEATRE DE LA REINE BLANCHE. Paris (France). Octobre 2012.La Frontline de mon orchestre le Panafrican Jazz Orchestra. De gauche à droite, RASUL SIDDICK, trompette (U.S.A), ZEPHANIA NGOMBULU YA NTETE YA NUANA ZINGU, alto saxophone (Congo-Karukera), CHANSSE EVANS, tenor saxophone (U.S.A). THEATRE DE LA REINE BLANCHE. Paris (France).Audition de ZEPHANIA NGOMBULU YA NTETE YA NUANA ZINGU LASCONY au REDUTA JAZZ CLUB. Prague,Au mythique REDUTA JAZZ CLUB pendant l’audition de mon protégé. PRAGUE (République tchèque), ZEPHANIA N.Y.N.Y.N.Z LASCONY et DAVID VROBEL, un duo explosif d’altistes au JAZZTIME CLUB. Prague (République tchèque),Le repos du lionceau.Mission accomplie !« Former son gamin avant de l’embaucher dans son orchestre sous contrat, ça s’appelle du Business. Au SUNSIDE JAZZ CLUB. Paris (France), Le petit a grandi, il souffle comme une tempête. Au SUNSIDE JAZZ CLUB. Paris (France)Au « CAVEAU DE LA HUCHETTE » en compagnie du vétéran TONY SCOLA (ténor saxophone). Paris (France), Adulte, il peut désormais se frotter aux grosses pointures. ZEPHANIA NGOMBULU YA NTETE YA NUANA ZINGU LASCONY, en compagnie de DANY DORIZ, grand vibraphoniste et propriétaire du mythique « CAVEAU DE LA HUCHETTE », plus vieux jazz club parisien.TATA na MWANA ( père et fils complices sur scène et en dehors).Avec mon fils ZEPHANIA N.Y.N.Y.N.Z LASCONY et le Quatuor de saxophones ALTACENA, Lisbonne (Portugal) CHANSSE EVANS (U.S.A), mon mentor musical. C’est avec lui que j’ai fait mes débuts sur la scène jazz.En concert à l’INSTITUT FRANCAIS HENRI MATISSE avec mon mentor CHANSSE EVANS, sax ténor (U.S.A) etmon compatriote JULES MOUANGA, trompette (Congo). Bobo-Dioulasso (Burkina Faso), Interview après ma conférence à l’occasion de la Journée Internationale du Jazz à l’INSTITUT FRANCAIS GEORGES MELIES, Ouagadougou (Burkina Faso),« Désolé, une erreur s’est glissée au montage (CHARLES « Buddy » BOLDEN et non JAMES) ». Pendant ma conférence à l’occasion de la Journée Internationale du Jazz à l’INSTITUT FRANCAIS GEORGES MELIES, Ouagadougou (Burkina Faso), Les étudiants burkinabè du cadre ne rate aucun de mes événements. Ici pendant ma conférence à l’occasion de la Journée Internationale du Jazz à Institut Français. Ouagadougou (Burkina Faso), Idem.Début de la déclamation « LE REVE BRISE », une élégie à la mémoire du capitaine THOMAS SANKARA, tirée de mon recueil « REQUIEM POUR LE REPOS DE MES ANGES GARDIENS ». FESTIVAL JAZZ A OUAGA, Pendant ma prestation en trio au FESTIVAL JAZZ A OUAGA, L’ambiance est toujours électrique lorsque je commence à déclamer. FESTIVAL JAZZ A OUAGA.Live à la CITE INTERNATIONALE DES ARTS avec le Panafrican Jazz Orchestra : TOM MCKENZIE, contrebasse (U.S.A), BOBBY FEW, piano (U.S.A), N.Y.S.YM.B LASCONY, prose, direction musicale (Congo). Paris (France),PANAFRICAN JAZZ ORCHESTRA : KING BLAISE, ténor saxophone, (Cameroun), ZEPHANIA N.Y.N.Y. N.Z LASCONY, alto saxophone. (Congo-Karukera). Live à la Cité internationale des Arts. PARIS (France), Destination inconnue.Sur le BROOKLYN BRIDGE (ouvrage d’art). New-York (U.S.A), Tournage dans MANHATTAN. New-York (U.S.A)Au mythique APOLLO THEATRE. New-York (U.S.A,Mes deux épouses japonaises, SONY (SONYA pour les intimes) et PANASONIC (ANA pour les intimes). Bamako (MALI).Avec L’une de mes épouses japonaises SONY (SONYA pour les intimes). Assinie (Côte-d’Ivoire),Dans la LAGUNEASSOUENDE, lors d’un tournage sur la baie des milliardaires. Assinie (Côte-d’Ivoire).A l’embouchure du LAC VOLTA et L’OCEAN ATLANTIQUE. Ada-foa (Ghana).Dans le LAC TANA (Ethiopie).Au bord du NIL BLEU ( Ethiopie).Dans le CANAL DE LA DOMINIQUE(Mer caribéenne) .Dans le CANAL DE LA BARBADE (Mer caribéenne)PORT AUTORITY. Roseau (Dominique, Antilles britanniques), Dans le CANAL DE LA MARTINIQUE (Mer caribéenne)PORT MARITIME DE CASTRIES (Sainte-Lucie, Antilles britanniques),PORT MARITIME DE SPLIT. (Océan adriatique, Croatie).A la CITE ANTIQUE DE POMPEI (Italie). Réjouissances après avoir balayé la CITE ANTIQUE DE POMPEI (Italie), « On dit que le hasard n’existe pas ». En provenance de Paris, j’ai rencontré mon jeune frère et collègue nigérien JALOUD TANGUI à l’aéroport international MOHAMED V de Casablanca (Maroc) , Voici ce que mes caméras ont accouché.Idem.Idem.Il y en a d’autres. Panafricaniste FOREVER !SAPOUY (Burkina Faso), lieu d’assassinat du journaliste NORBERT ZONGO et ses compagnons, le 13 décembre 2013 (jour de commémoration). De gauche à droite MUHAMMAD SYLLA (Gambie), feu XAVIER-LUC DOTCHOUA (Cameroun), UMARU FOFANA (Sierra-léone), des collègues reporters panafricains.Ma conférence « REGARDS SUR L’ETHIOPIE EN IV ACTES » à l’université FELIX HOUPHOUET-BOIGNY. Abidjan (Côte-d’Ivoire), Idem, à l’université FELIX HOUPHOUET-BOIGNY. Abidjan (Côte-d’Ivoire), L’auditoire. Uuniversité FELIX HOUPHOUET-BOIGNY. Abidjan (COTE-D’IVOIRE), Photo de famille d’après-conférence « REGARDS SUR L’ETHIOPIE EN IV ACTES » à l’université FELIX HOUPHOUET-BOIGNY. Abidjan (Côte-d’Ivoire), Un cours conjoint avec mon invité, le Pr MAGLOIRE SOME. Le partage des connaissances pour le bénéfice des étudiants. Université Joseph Ki-Zerbo. Ouagadougou (Burkina Faso), C’était le 1er mai 2016, jour férié, mais les étudiants tenaient à ce que je leur fasse cours. Ils sont venus me réveiller tôt le matin. Université Joseph Ki-Zerbo. Ouagadougou (Burkina Faso), A la fin du cours, avec mon invité le Pr MAGLOIRE SOME à l’université Joseph Ki-Zerbo. Ouagadougou (Burkina Faso), mai Devant L’HABITATION MURAT. Marie-galante (Archipel de la Guadeloupe), Sur l’HABITATION RUSSELL. Marie-galante (Archipel de la Guadeloupe), Après ma conférence avec le Dr MARYSE ETZOL, Présidente de la Communauté des communes de MARIE-GALANTE (archipel de la Guadeloupe), Ma conférence sur l’honorable MARCUS GARVEY à l’Espace KA-SONE. SAINTE-ROSE (Guadeloupe), L’auditoire. Espace KA-SONE. SAINTE-ROSE (Guadeloupe), Idem.Photo de famille d’après- conférence. Espace KA-SONE. SAINTE-ROSE (Guadeloupe),Invité à la 2e édition de l’événement » BE LIVE 4 AFRICA ». Paris (France), Sur le podium avec les animatrices et un membre du groupe P. SQUARE » BE LIVE 4 AFRICA ». Paris (France), jL’auditoire.Sur le SITE DE LAONGO, le travail du granite..Sur le SITE HISTORIQUE DE LOROPENI.Sur la 7e AVENUE, New-York City (U.S.A),Au CALVAIRE. Fort-de-France (Martinique), En conférence au Centre culturel ANDRE ALIKER. Fort-de-France (Martinique), Photo de famille d’après-conférence. Centre culturel ANDRE ALIKER, Fort-de-France (Martinique), Conférence sur le « MYSTERE DES EGREGORES ACTE I » organisée par GREAT DEBATERS. Paris 16e,Idem.Conférence sur le « MYSTERE DES EGREGORES ACTE II » organisée par GREAT DEBATERS. Paris 16e, Il faut savoir se reposer.« Travailler pour vivre, et non l’inverse ». Principe de vie.« Pas de TABAC, de LIQUEUR, ni de DROGUE ». Restez toujours SOBRE.« Epargner c’est bien, mais s’éclater c’est mieux ». Philosophie congolaise.« Prendre du bon temps pour ne pas mourir frustré ».Très facile à trouver et à contacter sur le web.Cette dame s’appelle MAMA WA NDOMBI WENA MABENI MA VUA, elle voyage tout le temps avec moi.
JUSTE UN CONSEIL : « la main qui donne est celle qui ordonne. Pour gagner en respectabilité, il faut être autonome financièrement. Le succès réside dans la sueur, l’échec dans la paresse. Le dur labeur donne souvent de bons résultats. Toujours compter sur soi-même, tel est le bon credo ».